Conception d'un système téléphonique mondial

Q : Comment concevoir un système téléphonique mondial possible qui communique avec des chronologies mondiales proches, ou des univers parallèles, avec des personnes à l'intérieur via la téléportation/le tunneling quantique ?

Merci pour votre question. Voici ma réponse :

Conception d'un téléphone cross-world :
Une synthèse des approches basées sur le matériel et la conscience

Introduction

L'idée de communiquer avec des univers parallèles ou des chronologies alternatives est depuis longtemps un élément captivant de la science-fiction. Les avancées récentes de la physique quantique suggèrent cependant qu'un tel exploit pourrait être théoriquement plausible. Cet article synthétise deux cadres proposés pour une telle approche. téléphone transmondial Système basé sur les phénomènes vérifiés expérimentalement de l'effet tunnel quantique et de la transmission de signaux supraluminiques par ondes évanescentes. En combinant une conception centrée sur le matériel avec un modèle intégrant la conscience, nous pouvons esquisser une approche globale visant potentiellement à combler le fossé entre les réalités.

Principes scientifiques fondamentaux

Tout système de communication fonctionnel entre les mondes doit être construit sur un ensemble de principes quantiques fondamentaux qui permettent à l’information de transcender les limites conventionnelles de l’espace-temps.

1. Transfert d'informations supraluminiques par tunneling quantique

Le fondement de cette technologie repose sur le phénomène d'effet tunnel quantique supraluminique, vérifié expérimentalement. Cet effet permet aux particules de franchir des barrières énergétiques infranchissables en physique classique. Ce processus est médié par ondes évanescentesLorsqu'une onde rencontre une barrière, elle génère ces ondes uniques, qui décroissent de façon exponentielle mais peuvent réapparaître de l'autre côté de la barrière plus rapidement que la vitesse de la lumière.

  • Preuve expérimentale : Le professeur Dr. Günter Nimtz l'a démontré de manière célèbre en transmettant la 40e Symphonie de Mozart, modulée sur un signal micro-onde, à travers une barrière quantique à une vitesse de 4.7c.
  • L'effet Hartman : Des recherches remontant à Thomas Hartman (1962) montrent que le temps nécessaire à une particule pour creuser un tunnel est indépendant de l'épaisseur de la barrière. Cela implique que la particule se déplace effectivement à vitesses supraluminiques à l'intérieur de la barrière.
  • Amplification des signaux : En installant plusieurs barrières en cascade, la vitesse effective du signal tunnelisé peut être augmentée. Des expériences ont permis d'atteindre jusqu'à 8 fois la vitesse de la lumière grâce à cette méthode.
Accélérateur supraluminique décalé (barrière en cascade). Photographie réelle agrandie par IA, Erich Habich-Traut.

2. Le pont entre les mondes : la brane quantique intemporelle

Une interprétation clé de l'effet tunnel quantique postule que la particule entre brièvement dans un état où l'espace-temps conventionnel n'existe pas. Ce domaine agit comme un « standard » reliant différentes lignes temporelles.

  • Un espace sans temps ni distance : À l'intérieur du tunnel quantique, la phase du signal reste inchangée, ce qui conduit à la conclusion que le temps observé est nul. Topologiquement, ce domaine est décrit comme un point zéro-dimensionnel (0D) ou une brane ou une corde unidimensionnelle (1D).
  • Connexion des chronologies : Dans un monde où le temps et la distance n'ont aucune importance, tous les points sont effectivement colocalisés. Si des lignes d'univers parallèles existent au sein d'un multivers quantique, leurs fonctions d'onde se croiseraient ou seraient accessibles via cette brane fondamentale. Un signal entrant dans cet état n'est plus confiné à sa ligne temporelle d'origine et peut émerger dans une ligne proche.

3. Le cerveau supraluminique : l'hypothèse WETCOW

L'un des principaux défis des ondes évanescentes réside dans leur décroissance exponentielle sur de très courtes distances. Cependant, le cerveau humain lui-même est peut-être déjà conçu pour les utiliser.

  • Modèle WETCOW (ondes corticales faiblement évanescentes) : Proposé par Galinsky et Frank, ce modèle suggère que l'immense vitesse de traitement du cerveau et la conscience elle-même sont facilitées par des ondes évanescentes opérant entre les neurones.
  • Le cerveau comme processeur quantique : Avec plus de 126,000 XNUMX neurones par millimètre cube, le cortex cérébral possède une densité parfaitement dimensionnée pour interagir avec les champs évanescents de courte durée. Cela fait du cerveau un candidat idéal pour servir à la fois d'antenne et de processeur d'information quantique. Le symbole de onde quantique La fonction (Psi) reflète parfaitement son utilisation en parapsychologie pour des phénomènes comme la télépathie, que ce système vise à concevoir.

Cadres de conception pour un téléphone inter-monde

Illustration de l'IA

Sur la base de ces principes, deux approches de conception distinctes mais complémentaires émergent : un émetteur-récepteur centré sur le matériel et un système intégré à la conscience.

Approche 1 : L'émetteur-récepteur centré sur le matériel

Cette conception traite le système comme un élément de matériel de communication traditionnel qui génère, transmet et reçoit des signaux quantiques.

  1. Génération de signaux : Utiliser des particules quantiques intriquées pour établir une connexion de base stable. Les messages sont ensuite codés sur des ondes évanescentes supraluminiques, par exemple en modulant un signal micro-onde à une fréquence connue pour maximiser l'efficacité de l'effet tunnel (par exemple, 8.7 GHz, comme dans la configuration de Nimtz).
  2. Émetteur-récepteur à effet tunnel quantique : Le cœur de l'appareil est un structure de barrière en cascadeCet ensemble de barrières quantiques nano-conçues (telles que des prismes ou des métamatériaux) est conçu pour amplifier l'effet tunnel et augmenter la vitesse supraluminique du signal.
  3. Détection: À la réception, un oscilloscope à grande vitesse ou un capteur quantique très sensible est nécessaire pour capturer et décoder le signal tunnelé avant qu'il ne se désintègre complètement.
Système téléphonique mondial ? Photographie réelle agrandie par l'IA, Erich Habich-Traut

Approche 2 : Le système intégré à la conscience (modèle de télépathie)

Cette conception résout avec élégance le problème de la décroissance des ondes évanescentes en utilisant le processeur quantique le plus sophistiqué connu : le cerveau humain. Le système n'est pas un téléphone, mais un appareil environnemental construit autour d'un opérateur humain.

Proposition de conception de téléphone télépathique Cross World
  1. L'opérateur comme composant principal : Le cerveau de l’opérateur fonctionne comme l’émetteur et le récepteur principal du système, exploitant le mécanisme WETCOW pour traiter les ondes évanescentes.
  2. Le réseau de tunnels quantiques : Un dispositif est construit autour de la tête de l'opérateur pour créer un environnement tunnel quantique stable. Cet appareil comprendrait :

    Émetteur:
     Un émetteur micro-ondes basse fréquence (par exemple, 8.7 GHz) pour générer l'onde porteuse.
    Barrière:
     Un réseau de barrières en cascade, ressemblant peut-être à un « Hohlleiter » (guide d'ondes), est placé à proximité immédiate du crâne. Cela permet aux champs évanescents de pénétrer efficacement le cortex cérébral avant de s'atténuer.
  3. Protocole de communication: La communication devient une forme de télépathie assistée par la technologie.

    Transmission (« Parler ») :
     L'opérateur se concentre sur une pensée ou un message. L'activité neuronale naturelle du cerveau sert de signal, modulé par le réseau et transmis via la 1-brane intemporelle à un opérateur à l'écoute dans une autre ligne temporelle.

    Réception (« Écoute ») :
     Des ondes évanescentes provenant d'un monde parallèle imprègnent le cortex de l'opérateur. Le réseau neuronal du cerveau interprète ces champs comme des pensées, des images ou des sensations cohérentes. L'expérience s'apparente à une idée soudaine et claire surgissant dans l'esprit.

Défis, solutions et mécanismes opérationnels

Illustration de l'IA
  • Décroissance et portée du signal : C’est le principal obstacle.Solution matérielle : Développer des répéteurs quantiques pour capturer et réamplifier le signal sur de plus grandes distances.Solution de conscience : La conception résout intrinsèquement ce problème en plaçant le processeur (le cerveau) directement dans la portée effective du champ évanescent.
  • Ciblage et vérification : Comment choisir un échéancier et confirmer le contact ?Mécanisme de réglage : On suppose que l’ajustement de la fréquence du tunnel pourrait permettre au système de « résonner » avec un monde parallèle spécifique, un peu comme si l’on réglait une radio sur une station spécifique.Vérification: Pour distinguer un vrai signal du bruit, les messages pourraient être intégrés avec des signatures quantiques uniques ou des clés d’intrication pré-partagées qui confirment l’authenticité du lien.
  • Causalité et paradoxes : La communication plus rapide que la lumière augmente le risque de paradoxes temporels (par exemple, recevoir un message avant qu'il ne soit envoyé).Solution possible : Le système pourrait être conçu avec des protocoles auto-cohérents qui ne permettent que des échanges d’informations non paradoxaux, ou il se peut que la communication ne soit possible qu’entre des « présents » parallèles.

Conclusion et orientations futures

Bien que hautement spéculatif, un système téléphonique interplanétaire fondé sur l'effet tunnel quantique est théoriquement plausible. En exploitant la réalité avérée des ondes évanescentes supraluminiques et en explorant le potentiel du cerveau humain à agir comme émetteur-récepteur quantique, nous pouvons identifier des pistes de recherche claires.

Prochaines étapes:

  1. Reproduisez et développez les expériences de tunneling multi-barrières pour obtenir des vitesses FTL et une stabilité du signal plus élevées.
  2. Développer des interfaces cerveau-ordinateur sophistiquées pour tester et mesurer l'interaction du cerveau avec les champs évanescents, comme proposé par le modèle WETCOW.
  3. Explorez davantage le nature topologique de la « brane » de dimension zéro en physique des hautes énergies des expériences visant à confirmer son rôle de canal de communication potentiel.

En explorant ces pistes matérielles et basées sur la conscience, nous pourrions un jour faire passer la communication intermondiale du domaine de la fiction à celui de la réalité. La seule question qui subsiste est : oseriez-vous passer le premier appel ?


Simulation de ce téléphone inter-monde (compte Google requis) :


Basé sur des recherches publiées sur :

Superluminal (1ère partie sur 4) : La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière : un voyage illustré

PRÉFACE (Table des matières : cliquez ici)

Cet article, intitulé « Superluminal : la découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière », étudie le concept émergent d’ondes cérébrales supralumineuses facilitées par des ondes évanescentes dans le cerveau. Il s’appuie sur des recherches historiques, notamment sur des expériences fondamentales du professeur Günter Nimtz qui ont démontré la faisabilité d’une communication plus rapide que la lumière par tunneling quantique, et discute de théories contemporaines telles que les WETCOW (Weakly-Evanescent Cortical Waves) proposées par Vitaly L. Galinsky et Lawrence R. Frank. En reliant les principes de la mécanique quantique à la compréhension neuroscientifique, l’article explore les implications potentielles de l’activité cérébrale supralumineuse pour le traitement cognitif, la conscience et la possibilité d’une communication interstellaire. De plus, il examine les considérations éthiques et les ramifications scientifiques qui découlent de ces concepts révolutionnaires. À travers un récit engageant, cet ouvrage vise à susciter un dialogue autour des intersections entre les neurosciences, la physique quantique, et leur pertinence par rapport à la nature de l’intelligence et de la conscience chez les humains et les êtres potentiellement extraterrestres.

31 mai 2016 : Si un objet se rapproche de la vitesse de la lumière, sa longueur mesurée diminue (relativement parlant).

Quand tout cela a-t-il commencé ? C'est très difficile à dire. Imaginez-vous vivre une vie relativement simple où les choses se produisent une par une, sans lien ni but apparent, et puis… soudain, tout se met en place ; vous avez une révélation.

Le 25 août 2023, un jour ensoleillé, j'étais assis comme d'habitude au bar du Sunset House, surplombant la baie de Souda en Crète. J'avais vu un titre intéressant sur mon ordinateur portable. Il s'agissait d'un article scientifique aride de Galinsky et Frank, qui parlait des « effets synchronisants possibles des ondes évanescentes dans le cerveau ».

Ils ont baptisé leur théorie « WETCOW », pour « ondes corticales faiblement évanescentes ». La plupart des gens ne s’inquiéteraient pas à deux fois d’un tel titre, se contentant de rire à l’image d’une vache trempée. Du moins, c’est ce que j’ai fait.

Mais ensuite, j'ai relié les points. Les ondes évanescentes, le sujet de l'article de WETCOW, signifiaient des ondes cérébrales supralumineuses. Et cela allait changer la donne :

QUAND J'AI RENCONTRÉ EVANESCENT WAVES, LA PREMIÈRE FOIS

Je me souviens comme si c'était hier, le jour de 1999, avec le célèbre physicien Professeur Günter Nimtz, dans son laboratoire de l'Université de Cologne. C'était le jeudi 9 septembre.

Nimtz est célèbre pour ses expériences controversées sur les communications plus rapides que la lumière. J'ai entendu parler de lui dans un article de magazine.

J'ai appelé Nimtz et pris rendez-vous pour une démonstration. Nimtz a accepté et a répété l'expérience pour moi, et je l'ai enregistrée sur pellicule 35 mm.

L'expérience consiste à diriger des micro-ondes vers un tunnel quantique, un prisme dans l'expérience que j'ai vue ; cela crée des ondes radioélectriques transportant des informations plus rapides que la lumière. Ces ondes proviennent d'effets quantiques supraluminiques.

Et cette démonstration ne m'a jamais quitté depuis. Elle m'a servi de base pour trouver une solution au « théorème de non-communication ». Il s'agit d'une théorie qui stipule que dans le monde macroscopique, l'intrication quantique ne peut jamais être utilisée pour une communication plus rapide que la lumière.

QUAND J'AI RENCONTRÉ EVANESCENT WAVES, LA DEUXIÈME FOIS

Après avoir lu l’article de WETCOW, cela m’a frappé : la présence d’ondes évanescentes signifiait qu’il existait des ondes cérébrales supralumineuses. La plupart des neurologues, spécialisés dans les ondes cérébrales, négligent probablement ce lien car il ne relève pas de leur domaine d’expertise.

Et aucun physicien ne se lèvera pour crier : « J’ai découvert des ondes cérébrales plus rapides que la lumière ! » parce que cela dépasse également son domaine d’expertise.

Les ondes évanescentes sont le résultat d'effets quantiques supraluminiques, que j'explore depuis près de 25 ans, après avoir assisté à cette démonstration dans un contexte différent : celui des communications supraluminiques avec des civilisations extraterrestres avancées.

ONDES SUPRALUMINALES DANS LE CERVEAU
Mais il m'est apparu maintenant (ou alors), en août 2023, qu'au lieu de combler les distances interstellaires avec des ondes radio, ce qui dépasse nos capacités actuelles, ces ondes comblent facilement des distances microscopiques entre les neurones du cerveau, chaque jour, chez chaque être sensible, partout. Et pas seulement sur Terre, si nous présumons que nous ne sommes pas la seule espèce intelligente du cosmos.

PENSER PEUT BATTRE LES DISTANCES
Les ondes cérébrales plus rapides que la lumière n’expliquent pas seulement l’immense vitesse de traitement du cerveau humain. La caractéristique de tunnelisation quantique de ces ondes, qui étaient auparavant décrites comme un simple « bruit », les relie à un espace presque magique à zéro ou à une dimension, qui ne connaît ni le temps ni la distance, sans séparation entre le passé, le futur ou les lieux.

Chaque fois qu'une particule ou une onde heurte une barrière, des ondes évanescentes sont créées par effet tunnel quantique à temps zéro. Est-ce la source de « l'action fantasmagorique à distance » d'Albert Einstein, l'interférence des ondes évanescentes sur des particules intriquées qui parcourent instantanément des millions d'années-lumière ?

La simplicité de la solution est stupéfiante ; elle peut être expliquée à de jeunes enfants, mais la complexité et l’ampleur des conséquences ne sont pas moindres pour autant.

VOYAGEZ DANS LE TEMPS DEPUIS VOTRE FAUTEUIL ?
Est-il possible de voyager dans le temps et dans le futur, depuis son fauteuil, et de changer l'histoire simplement en y pensant ? C'est encore impossible dans le macrocosme de l'existence quotidienne, mais cela peut se faire dans une certaine mesure dans le royaume de l'infiniment petit, le royaume quantique de votre cerveau.

CONTACT AVEC LA VIE EXTRATERRESTRE ?
De plus, si l'intrication existe et que les ondes cérébrales apportent des informations d'une dimension unifiée de la conscience cosmique via le tunnel quantique, pouvons-nous entrer en contact avec une intelligence extraterrestre ? Le résultat de cette enquête sera-t-il le même que dans le roman de Carl Sagan « Contact », où aucune preuve tangible n'a pu être apportée aux sceptiques après le voyage d'Eleanor Arroway ?

Découvrons-le dans « Superluminal » partie 2 :
Des scientifiques dévoilent une topologie époustouflante de l'espace en brisant les limites de la vitesse de la lumière !


La série « Superluminal » :
1. La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière : un voyage illustré
2. Des scientifiques dévoilent une topologie époustouflante de l'espace en brisant les limites de la vitesse de la lumière !
3. Déverrouiller l’esprit : les ondes cérébrales humaines défient-elles la vitesse de la lumière ?
4. Dévoiler le mystère de la conscience plus rapide que la lumière


Superluminal (3e partie sur 4) : Déverrouiller l’esprit : les ondes cérébrales humaines défient-elles la vitesse de la lumière ?

L’immense vitesse de traitement du cerveau humain peut s’expliquer en partie ou en totalité par la transmission de signaux supraluminiques.

COUPE-MOUILLÉE

Introduction

Vous êtes-vous déjà demandé quelle était la vitesse de traitement étonnante du cerveau humain ? Il est possible que cette capacité incroyable soit en partie attribuée à la transmission de signaux supraluminiques.

Entrer le WETCOW (Onde corticale faiblement évanescente) modèle, un concept révolutionnaire exploré par Vitaly L. Galinsky et Lawrence R. Frank dans leur article de mars 2023 publié dans Nature. Ils affirment que « l’efficacité, la robustesse et la flexibilité de la mémoire et de l’apprentissage constituent l’essence même de l’intelligence naturelle, de la cognition et de la conscience humaines. »

Pourtant, les perspectives actuelles sur ces sujets profonds sont souvent manque d'un solide théorie physique qui explique comment le cerveau communique en interne via ses signaux électriques. Cela pose une lacune importante dans notre compréhension de la cognition humaine.

Dans leurs recherches, Galinsky et Frank soulignent que ondes évanescentes dans le cerveau, auparavant considérés comme de simples « bruits », sont en réalité essentiels à l'apprentissage et à la mémoire humaine. Voici le hic : ces les ondes évanescentes peuvent voyager plus vite que la lumièreC'est une conjecture alléchante : onde évanescente → plus rapide que la lumière. Cette affirmation soulève des questions essentielles sur la nature de la conscience : qu'est-ce que c'est ? D'où vient-elle ? Comment se connecte-t-elle à notre corps physique ?


Est-ce vrai?

Au début des années 2000, la communauté scientifique était en effervescence avec les spéculations. Certains physiciens quantiques étaient indécis ou opposés à l'idée que ONDES ÉVANESCENTES À EFFET TUNNEL QUANTIQUE se déplacer plus vite que la lumière.

Leur réticence provient de la violation apparente de la théorie de la relativité d’Einstein : rien ne peut se déplacer plus vite que la lumière.

Mais ce n’est pas tout à fait vrai. La loi stipule que rien ayant une MASSE ne peut se déplacer plus vite que la lumière dans le vide.

« On dit aussi que l'effet tunnel quantique peut permettre aux particules de traverser des barrières à des vitesses supérieures à celles de la lumière. Mais cela ne viole pas la relativité restreinte car aucune information ne peut être transmise. Ce phénomène est une conséquence du comportement ondulatoire de la mécanique quantique et n'implique pas de déplacer des informations ou de la matière plus rapidement que la lumière. »"

Attendez un peu. Ce n'est pas parce que cette phrase est répétée souvent qu'elle est vraie.

Alors, que se passe-t-il ici?

Pour comprendre ces revendications, nous devons examiner les MÉTHODE SCIENTIFIQUE.

En sciences, le processus commence par une hypothèse. Vous faites une supposition éclairée sur le fonctionnement de quelque chose. Ensuite, vous concevez une expérience pratique pour tester cette hypothèse.

La validité de l'hypothèse repose sur le résultat de l'expérience. Si les résultats soutiennent l'hypothèse, celle-ci gagne en crédibilité. Mais ce n'est pas tout. L'expérience doit être reproductible. D'autres scientifiques doivent obtenir les mêmes résultats dans les mêmes conditions. Cette reproductibilité renforce la place de l'hypothèse dans la communauté scientifique.

Grâce à cette méthode, la science construit des connaissances, une hypothèse à la fois.

Prenons cet exemple pratique : la musique est un type d’information. Le Dr Nimtz affirme avoir transmis de la musique à travers un tunnel quantique à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Dans cette expérience pratique, qui a été répétée de nombreuses fois, on peut entendre Mozart accéléré à 4.7 fois la vitesse de la lumière.

Il s'agit de musique classique transmise de manière non classique


Donc quoi vraiment passe ici?


Certains éléments de la conscience humaine se déplacent à des vitesses qui défient notre compréhension conventionnelle de la physique. Les ondes supraluminiques ont des propriétés particulières, dont l'une pourrait faire froid dans le dos des physiciens classiques : les inversions de cause à effet. Imaginez un scénario dans lequel le cerveau prend des décisions avant même que vous en ayez conscience ! (Et c'est précisément le cas : Le cerveau prend des décisions avant même que vous ne le sachiez.)

Il convient toutefois de noter que ces signaux supraluminiques ne sont en avance que de quelques fractions de seconde sur les signaux conventionnels voyageant à la vitesse de la lumière. Elles ne dépassent pas la vitesse de groupe de l'onde, ce qui est la raison pour laquelle elles ne contreviennent pas à la théorie de la relativité. Ce qui sera précisé plus tard, intéresse surtout les physiciens théoriciens.

Des cascades ?

Le véritable secret des ondes évanescentes supralumineuses ne réside pas dans le fait que l'onde évanescente elle-même soit plus rapide que la lumière. C'est lorsqu'une onde normale rencontre une barrière, un tunnel dit quantique, qu'elle réapparaît de l'autre côté du tunnel plus rapidement que ce qui est possible de manière classique, plus rapidement que la vitesse de la lumière.

Lorsqu'une onde traverse un tunnel quantique avec une barrière, elle devient 4.7 fois plus rapide que la lumière. Que se passe-t-il si vous construisez plusieurs barrières, l'une après l'autre, et que vous envoyez le signal à travers ?

Tunnel quantique

Un effet de cascade pourrait-il conduire à des vitesses encore plus élevées ? C'est exactement ce que le professeur Gunter Nimtz de l'Université de Cologne a réussi à démontrer en accélérant une onde évanescente à travers une série de barrières, atteignant des vitesses 36 fois supérieures à celles de la lumière.

Alors, qu'en est-il des cascades dans notre cerveau ? Qu'est-ce que cela pourrait signifier pour notre cognition et notre conscience ? C'est une énigme à laquelle vous devez réfléchir.

Ici, nous faisons un lien entre JLa théorie de la conscience par ondes électromagnétiques (CEMI) de ohnjoe McFadden, Modèle WETCOW de Galinsky & Frank pour le calcul cérébral des ondes évanescentes, et aussi Les recherches de Nimtz sur le tunnel quantique supraluminique.

Jusqu'à présent, la vitesse supérieure à la lumière des ondes évanescentes n'a que peu d'applications pratiques dans le macrocosme, mais elle est utile dans les semi-conducteurs et l'électronique. Chaque fois que vous utilisez un capteur d'empreintes digitales, par exemple sur votre téléphone, les ondes évanescentes permettent de reconnaître votre identité.

Malheureusement, les émetteurs radio longue distance plus rapides que la lumière sont hors de question, car les ondes ne parcourent que de très courtes distances et perdent ensuite toute puissance.

Dans le cerveau, cela devient vraiment intéressant

Dans le cerveau, les distances entre neurones, astrocytes, ganglions, et microtubules sont si petits que les effets supraluminiques peuvent être importants.


L'illustration ci-dessous montre des structures étonnamment similaires dans le cerveau et dans le cosmos en général :

Image de gauche : les astrocytes du cerveau | Image de droite : le cosmos

Gauche, on voit un astrocyte mesurant 0.05 mm, et à droite, une structure très similaire dans le réseau galactique, mesurant 400 millions d'années-lumière de diamètre. Cela représente une différence de taille de 27 ordres de grandeur.

Les scientifiques savent pourquoi les astrocytes existent dans le cerveau. Ils ont été découverts en 1891 et leur nom signifie « cellules en forme d’étoile ». La structure de ces cellules cérébrales peut être expliquée : elles sont formées par la chimie. Chaque composant de la structure des astrocytes est construit selon un plan d’ADN. Chaque astrocyte fournit des voies électriques à jusqu’à 2 millions de neurones dans le cerveau. Nous ne savons pas vraiment combien de ces astrocytes existent dans le cerveau, malgré 150 ans de comptageLes estimations actuelles parlent d'un trillion d'astrocytes, chacun étant connecté à 2 millions de neurones, ce qui représente beaucoup de cellules.

Droite, nous voyons une structure dans l'univers qui a été qualifiée de réseau galactique. Cette image remet en question le principe copernicien, qui suggère que l'univers devrait avoir une forme uniforme Peu importe la direction dans laquelle vous regardez. Dans le cerveau, nous pouvons facilement expliquer comment un élément constitutif d'une cellule se connecte à un autre, car les distances sont faibles. Cependant, dans l'univers, il faudrait des milliers, des millions, voire des centaines de millions d'années pour qu'une structure atteigne la complexité d'un astrocyte. Les gaz et les étoiles n'ont pas la possibilité de s'organiser en un réseau aussi complexe, car, selon nos connaissances actuelles, la vitesse la plus rapide dans l'univers est la vitesse de la lumière. Et il faut une communication plus rapide que la lumière pour organiser un tel réseau.

Mais comment ça marche ?



Topologie fondamentale

Il est intéressant de noter que les chercheurs qui étudient l’effet tunnel quantique ont émis l’hypothèse que les ondes évanescentes pourraient indiquer dimensions où le temps n'existe pas ou des espaces qui manquent totalement de volume.

Ceci est expliqué ici :
Qu'est-ce qu'une brane ? (Topologie et théorie des cordes en quelques mots)

Le phénomène de l'effet tunnel quantique se traduit par ces ondes évanescentes, et dans le domaine de la physique, la fonction d'onde probabiliste est représentée par ψ (Psi). Selon la règle de Born, la probabilité de l'effet tunnel quantique peut être exprimée comme suit :

|ψdans​(x)∣2=ψdans∗​(x)ψdans​(x)=(Aeikx)∗(Aeikx)=(A*e-ikx)(Aeikx)=A*A=∣A∣2.

Il est intéressant de noter que les auteurs du modèle WETCOW ne font pas référence à la possibilité que les ondes évanescentes soient supralumineuses. Cette notion est une découverte personnelle tirée de mon étude de l’œuvre controversée de Gunter Nimtz.

En fin de compte, la prise de conscience de l’existence d’ondes cérébrales plus rapides que la lumière a émergé dans mon propre esprit, ce qui semble approprié, étant donné que cela tourne autour du fonctionnement des ondes cérébrales.

— Erich Habich-Traut

Dans la partie suivante, nous nous plongeons plus profondément dans le domaine où le temps et l'espace se courbent, où les particules peuvent voyager plus vite que la lumière. Ce phénomène, appelé supraluminosité, existe non seulement dans la science-fiction, mais imprègne également la trame même de la réalité.

Cliquez ici pour continuer à lire « Superluminal » partie 4 :
Dévoiler le mystère de la conscience plus rapide que la lumière


La série « Superluminal » :
1. La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière : un voyage illustré
2. Des scientifiques dévoilent une topologie époustouflante de l'espace en brisant les limites de la vitesse de la lumière !
3. Déverrouiller l’esprit : les ondes cérébrales humaines défient-elles la vitesse de la lumière ?
4. Dévoiler le mystère de la conscience plus rapide que la lumière


Points de référence :
Voici une sélection d'articles et de documents de recherche qui introduisent les concepts abordés ici. À l'exception du point I, les références II, III, IV et V renvoient à des requêtes de moteurs de recherche générales liées au sujet traité, vous garantissant ainsi l'accès aux informations les plus complètes possibles.

I. Les ondes cérébrales synchronisées de manière critique (évanescentes) constituent une base efficace, robuste et flexible pour la mémoire et l'apprentissage humains — Vitaly L Galinsky, Lawrence R Frank, 2023
II. Google : Qu'est-ce qu'une onde évanescente ?
III. Google : Les ondes évanescentes selon Gunter Nimtz
IV. Google : Johnjoe Mcfadden Théorie EM de la conscience
V. Google : Les ondes évanescentes sont-elles supralumineuses ?

Superluminal (4e partie sur 4) : dévoiler le mystère de la conscience plus rapide que la lumière

Imaginez un monde où le temps et l’espace se courbent, où les particules peuvent voyager plus vite que la lumière. Ce phénomène, connu sous le nom de supraluminosité, n’est pas seulement un rêve de science-fiction ; il touche à la trame même de la réalité. Explorons les découvertes étonnantes de scientifiques comme Thomas Hartman, qui a éclairé notre compréhension de l’effet tunnel quantique en 1962.


L'effet Hartman

Les temps de tunnel quantique ont été mesurés pour la première fois par Thomas Elton Hartman en 1962, alors qu'il travaillait pour Texas Instruments à Dallas.Tunnellisation d'un paquet d'ondes,« Il a expliqué que le temps nécessaire aux particules, comme les photons, pour traverser une barrière ne dépend pas de la longueur de cette barrière.

Image : TE Hartman (1931 à 2009), croquis d'après photo, (c) 2025

Lorsque nous approfondissons cet étrange monde de la mécanique quantique, il apparaît qu’à l’intérieur de certaines barrières, les particules peuvent sembler défier notre compréhension classique de la vitesse, presque comme si elles se faufilaient à travers une faille cosmique.

À mesure que la technologie a progressé, nous avons pu mesurer les plus infimes incréments de temps, ce qui nous a permis de découvrir que le processus de tunnelisation quantique peut permettre aux particules de traverser les barrières plus rapidement que la vitesse de la lumière elle-même.

Révélations récentes avec l'horloge de Larmor

Dr Aephraim Steinberg, image de l'Université de Toronto

Dans une exploration récente rapportée par Quanta Magazine (Les tunnels quantiques montrent comment les particules peuvent dépasser la vitesse de la lumière), le physicien Dr Aephraim Steinberg de l'Université de Toronto a fait des observations fascinantes à l'aide d'un outil ingénieux appelé l'horloge de Larmor.

Cette horloge, nommée d'après le physicien irlandais Joseph Larmor, suit le spin des particules dans les champs magnétiques. Steinberg a découvert que les atomes de rubidium mettent un temps étonnamment court – seulement 0.61 milliseconde – pour traverser les barrières, ce qui est nettement plus rapide que dans l’espace vide. Cela est cohérent avec les périodes de l’horloge de Larmor qui ont été théorisées dans les années 1980 !

« Au cours des six décennies qui ont suivi la publication de l'article de Hartman, les physiciens ont beau avoir redéfini avec soin le temps d'effet tunnel ou l'avoir mesuré avec précision en laboratoire, ils ont toujours constaté que l'effet tunnel quantique présentait invariablement l'effet Hartmann. L'effet tunnel semble être incurablement et solidement supraluminique. »
Natalie Wolchover

« Les calculs montrent que si la barrière était très épaisse, l’accélération permettrait aux atomes de passer d’un côté à l’autre plus rapidement que la lumière. »
Dr. Aephraim Steinberg

Ces résultats soulèvent des questions captivantes : que se passe-t-il à l’intérieur de la barrière ?


La nature de la barrière

Interrogé sur ce qui se passe à l’intérieur de cette barrière, Horst Aichmann, un collègue du Dr Nimtz, a lancé une discussion qui a suscité une réflexion. Il a noté que, curieusement, l’onde qui émerge au bout du tunnel reste en phase avec l’onde qui l’a précédée. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela suggère que, d’une manière ou d’une autre, la nature du temps pourrait changer, voire disparaître, dans ce type de scénario de tunnelage.

10 août 2023, 3h03
« Dans nos expériences de tunneling, l'onde sort instantanément avec la même phase à la sortie du tunnel et se propage comme une « RF normale » avec une perte très élevée. À l'intérieur du tunnel, la question est : que peut-il se passer en un temps nul ? »
Cordialement, Horst Aichmann”

Dispositif à effet tunnel quantique « Hohlleiter »

« Merci pour votre réponse. Donc, en prenant en compte la longueur d’onde et la fréquence du signal, vous dites que le comportement supraluminique apparent ne se manifeste qu’à l’intérieur du tunnel ? Et le tunnel est l’espace d’air entre les prismes ? Cordialement, Eric »

10 août 2023, 4:16
« C’est exact… le fait est que lorsque vous regardez la phase avant et après le tunnel, vous voyez la même phase… Nous avons utilisé différentes pièces entre 3 et 15 cm, et elles ont toutes montré le même résultat : AUCUN changement de phase.

Notre interprétation est : changement de phase = 0 signifie temps = 0

Donc nous avons un espace sans temps, et même plus, si c'est exact, cet espace n'a pas de volume, n'est-ce pas ??? Horst Aichmann”

J'ai réfléchi un moment à cette question et j'ai abordé le problème d'un point de vue topologique :

« L’une de mes idées semble être qu’une particule photonique à effet tunnel sort de l’espace à 4 dimensions en tant que point à zéro dimension, creuse un tunnel sous la forme d’une corde unidimensionnelle (tunnel), pour réapparaître sous la forme d’un champ/onde dans l’espace à 4 dimensions. »

Erich Habich Traut

Imaginez un monde où le temps et la distance perdent leur sens, une sorte de tissu cosmique où les particules entrent et sortent sans les contraintes habituelles de notre expérience tridimensionnelle.

Cet espace est une sorte de UNIFICATEUR, où ni la distance ni le temps n'existent. Les particules/ondes entrent et sortent de cette dimension à travers tout l'univers, en continu.

Le royaume quantique

Cette dérive vers l’inconnu nous amène à l’idée du royaume quantique, un espace qui défie nos perceptions ordinaires. Ici, les particules se déplacent librement et en continu, créant des ondes susceptibles de véhiculer des informations cachées provenant d’un royaume au-delà de notre compréhension. Considérez-le comme un pont entre les dimensions, où tout est interconnecté dans une tapisserie intemporelle.

Certains quanta (particules/ondes) traversent cette région spatiale unidimensionnelle en continu, simplement en heurtant une barrière, générant une onde évanescente. Je postule que les quanta tunnelisés transportent d'information de cette traversée supraluminique.

Ils ont été dans un endroit étrange, de notre point de vue, le royaume quantique. Ils ont été dans un espace unidimensionnel sans temps. Où tout est partout et à tout moment à la fois.

Les effets de la mécanique quantique dans le domaine quantique de l'univers fictif de Marvel sont censés devenir significatifs à des échelles inférieures à 100 nanomètres. En réalité, cela dépend de la taille du système.

Ce comportement quantique affecte-t-il la vie sur Terre ? Absolument ! Par exemple, harnais pour plantes mécanique quantique dans la photosynthèse pour produire de l'oxygène dans un processus appelé cohérence quantique. De minuscules structures appelées chloroplastes fonctionnent à des échelles comprises entre 5 et 10 micromètres, soulignant l’influence profonde des phénomènes quantiques même dans notre vie quotidienne.

Il existe donc un effet mécanique quantique très important sans lequel la vie sur Terre ne serait pas possible.

Les filaments d'un neurone humain ont un diamètre d'environ Nanomètres 10, c'est-à-dire 500 à 1000 fois plus petit. Et il y a aussi des effets quantiques qui entrent en jeu.

Le difficile problème de la conscience

Nous en arrivons maintenant à une question profondément philosophique : qu’en est-il de la conscience ? D’où vient-elle et où va-t-elle ? Ce mystère, souvent considéré comme le « problème difficile », cherche à démêler le lien entre nos pensées et la machinerie biologique de notre cerveau.

La conscience pourrait-elle naître de la capacité de notre cerveau à se connecter par le biais d'ondes qui traversent un étrange royaume unidimensionnel ? Si tel est le cas, cela suggère que même les formes de vie les plus simples pourraient être imprégnées de conscience, presque comme de minuscules étincelles de conscience flottant dans l'obscurité. La conscience. D'où vient-elle et où va-t-elle ?

« Je postule que la conscience humaine naît de sa connexion via les neurones et d’autres structures cérébrales à un royaume unidimensionnel sans temps ni espace. « Par des ondes évanescentes. De ce royaume quantique, l’information est transportée dans notre monde. »

Erich Habich Traut

Si cette hypothèse est correcte, alors toute entité générant des ondes (électromagnétiques) ou de l'énergie pourrait être capable d'atteindre ou d'accéder à la conscience. midichlorie Les amibes, ancêtres des mitochondries qui produisent l'ATP dans la cellule humaine, peuvent atteindre la conscience. Les processeurs et les GPU sont également sujets à ce phénomène, dans une certaine mesure.

La quête de la communication supraluminique

Imaginez un univers dans lequel certaines particules peuvent passer à travers les barrières comme si elles n'existaient pas, sans être contraintes par l'espace ou le temps, mais jouant à cache-cache avec la réalité. Cette idée, qui relevait autrefois de la science-fiction, trouve son origine dans une caractéristique particulière de la mécanique quantique appelée effet tunnel supraluminique.

Le Dr Aephraim Steinberg suggère que même si une seule particule traversant une barrière peut réaliser cet exploit étonnant, elle ne transporte pas d'informations à travers l'espace ouvert au sens traditionnel du terme. Tout comme un murmure qui se perd avant d'atteindre l'oreille de quelqu'un, un une seule particule tunnel ne peut pas communiquer « à travers l’air ».

Et cela soulève des questions fascinantes : que se passerait-il si nous pouvions exploiter l' phénomène de tunnel quantique pour la communicationPensez à nos rêves d’envoyer des messages instantanés à une mission sur Mars ou de recevoir des signaux d’étoiles lointaines. De tels signaux supraluminiques pourraient révolutionner notre façon d’explorer le cosmos.

Pendant des années, j'ai réfléchi à cette possibilité intrigante. J'ai considéré le fond diffus cosmologique, un faible murmure de rayonnement provenant de la Terre. Big Bang Ce bruit de fond, émanant de tous les coins de l'univers, ressemble à une symphonie de fréquences, s'étendant de 300 MHz dans nos bandes de fréquences TV familières jusqu'à 630 GHz. Pourtant, malgré l'immensité de l'univers, nous constatons que ces ondes supraluminiques à portée libre ne se manifestent tout simplement pas.

MICROCOSME

Cela nous amène à un autre domaine :le microcosme du cerveau ! Récemment, je suis tombé sur une recherche qui a révélé quelque chose de remarquable : des ondes évanescentes existent dans le paysage complexe de notre cerveau, dit le Document de recherche WETCOWCes ondes fugaces se développent dans les lieux où circule l’énergie électromagnétique, comme les cellules vivantes, les plantes et même les processeurs qui alimentent nos ordinateurs. Elles prospèrent dans le cosmos dans son ensemble et en particulier.

Ces ondes plus rapides que la lumière violent-elles les principes fondamentaux de la relativité générale ? Le professeur Steinberg nous assure que non. Pour que ces ondes soient véritablement supraluminiques, il faudrait qu’elles dépassent leur propre longueur d’onde, un exploit qui, compte tenu de nos connaissances actuelles, est hors de portée. Au lieu de cela, ces ondes évanescentes restent dans les limites standard de la vitesse de la lumière, ce qui les rend indétectables après un bref éclair, un peu comme une luciole dans l’obscurité qui s’illumine, pour ensuite s’affaiblir rapidement et devenir indétectable.

Ainsi, dans des circonstances ordinaires, l’onde évanescente supralumineuse est dans les l'onde de vitesse normale comme le montre cette illustration (d) :

Le signal tunnel n'a pas le temps de dépasser l'onde, car les ondes évanescentes sont, eh bien, évanescentes. Elles disparaissent ; la disparition est le sens du mot « évanescent ». Pour cette raison, elles ne violent pas la causalité ou la relativité générale.

Mais avant de disparaître, quelque chose d'étonnant se produit : ces ondes évanescentes peuvent voyager à des vitesses étonnantes. Comme nous l'avons découvert plus tôt, elles sont plus rapides que la lumière. Dans le labyrinthe du cerveau, où un millimètre cube de cortex cérébral contient, en moyenne, 126,823 XNUMX neurones, c'est là que réside le potentiel d'un traitement de signal extraordinairement rapide. Ces minuscules structures interagissent de manière à faciliter une forme de communication qui transcende les frontières.

Et c’est là que réside toute la fascination : la transmission d’informations supraluminiques à l’intérieur du cerveau est possible. Parce qu’il existe un grand nombre de structures dans le cerveau qui peuvent traiter ces signaux dans les dimensions de la longueur d’onde.

Les champs évanescents, comme ces ondes sont également appelées, correspondent aux dimensions des composants biomoléculaires typiques tels que l'ADN, les peptides, les protéines et les neurones.

« L’immense vitesse de traitement du cerveau humain peut s’expliquer en partie ou en totalité par la transmission de signaux supraluminiques. »

Erich Habich Traut

DÉCROISSANCE DES ONDES ÉVANESCENTES : Un voyage dans l'invisible

Au cours de notre exploration du cosmos, nous rencontrons une multitude de phénomènes, dont beaucoup échappent à nos sens et défient notre compréhension. L'une de ces entités insaisissables est l'onde ou le champ évanescent.

Mais pourquoi ces ondes délicates se dissipent-elles si rapidement ? Se pourrait-il qu’en se déplaçant, elles rencontrent une résistance invisible, un peu comme un bateau qui avance sur l’eau ? Lorsque nous poussons un objet à travers un milieu stationnaire, nous sommes confrontés à une force palpable qui résiste à nos efforts : l’inertie du milieu lui-même. Par exemple, si vous laissez tomber une goutte d’encre dans un verre d’eau calme, vous verrez l’encre se répandre dans une belle danse tourbillonnante. Cela se produit non pas parce que l’encre souhaite se disperser, mais parce qu’elle rencontre la résistance même de l’eau.

La dispersion de l'onde évanescente est-elle causée par la très inertie ou viscosité de l'espace à quatre dimensions que l'onde évanescente se rencontre après avoir quitté le tunnel quantique ?

Attendez quelques instants et réfléchissez. Comment pourriez-vous prouver cette analogie ?

Dans notre exploration de la physique, nous rencontrons souvent différents types d’ondes. Les ondes radio classiques, par exemple, perdent de leur intensité en fonction du carré de la distance parcourue depuis leur source. Cela signifie que lorsque nous nous éloignons deux fois plus, le signal s’affaiblit d’un facteur quatre. En revanche, les ondes évanescentes connaissent un déclin plus spectaculaire. Elles disparaissent de manière exponentielle, leur présence s’estompant beaucoup plus rapidement que leurs homologues traditionnelles, comme des bougies éteintes par une rafale de vent inattendue.

Vous pourriez essayer de trouver une forme d’onde qui décroît de la même manière.

Quelques recherches révèlent que les vagues de l’océan décroissent de manière exponentielle :

Réf. 1: Les vagues de l'océan diminuent de façon exponentielle,
Réf. 2: Les ondes évanescentes décroissent de manière exponentielle.

En fait, les ondes évanescentes se désintègrent d'une manière étonnamment similaire aux vagues de l'océan. N'est-ce pas une belle analogie ?

Comment pouvons-nous passer d’une idée à une autre ? Comment pouvons-nous adopter des concepts avant d’avoir les preuves rigoureuses pour les étayer ? La réponse se trouve souvent dans expériences de pensée—de puissants voyages mentaux qui éveillent notre curiosité et nous conduisent à des hypothèses.

Une hypothèse est une supposition éclairée, un tremplin posé sur le chemin de la découverte. Mais chaque hypothèse doit résister à la rigueur des tests expérimentaux, où elle peut être examinée et répétée par d'autres qui s'aventurent sur la même voie.

Dans notre quête de compréhension, faisons preuve d’un peu de fantaisie. Au lieu d’imaginer simplement un bateau voguant sur l’eau, imaginons plutôt une grande bête : une vache.

Oui, une « VACHE MOUILLÉE ! » Aussi amusante que puisse être cette image, elle illustre un point crucial concernant les ondes corticales faiblement évanescentes.

Bien que les auteurs originaux du modèle WETCOW n’aient pas explicitement fait référence au concept de superluminalité en relation avec les ondes évanescentes, notre exploration de ces idées révèle des connexions intrigantes, remettant en question les frontières entre la science établie et les nouvelles découvertes.

CONSÉQUENCES : Les implications cosmiques de nos découvertes

L’origine plus rapide que la lumière des ondes cérébrales évanescentes n’est pas nécessaire pour que le modèle WETCOW de Galinsky/Frank fonctionne.

Au contraire, leur nature sert de lentille à travers laquelle nous pouvons entrevoir la vitesse remarquable à laquelle notre cerveau traite l’information et s’engage avec la structure même de la conscience.

Dans le domaine de la physique quantique, nous rencontrons le symbole Ψ (Psi), qui représente la fonction d’onde probabiliste, une entité mathématique mystérieuse qui traduit les incertitudes de l’existence. Pourtant, en parapsychologie, ce même symbole symbolise le facteur inconnu derrière les expériences surnaturelles que la science n’a pas encore expliqué.

Dans ce paysage, nous sommes confrontés à des phénomènes extraordinaires comme la précognition, cette capacité fascinante d’entrevoir l’avenir. Dans un monde régi par la causalité, comment concilier ces épisodes apparemment paradoxaux ? La présence d’ondes évanescentes offre une possibilité fascinante : et si, dans leur nature étrange, les inversions de cause à effet n’étaient pas de simples rêveries mais plutôt des probabilités que nous devons reconsidérer ?

« En explorant les mystères des phénomènes plus rapides que la lumière, nous pourrions faire des découvertes encore plus extraordinaires. Par exemple, l’intrication quantique – un phénomène physique avéré – et son analogue psychologique spéculatif, la télépathie, pourraient tous deux provenir de la structure topologique unifiée d’une brane zéro, telle que décrite dans certains modèles de physique théorique. »

Erich Habich Traut

Le cosmos regorge d’énigmes fascinantes qui n’attendent que nous pour être découvertes, et il nous invite à explorer des mondes où les frontières du temps et de l’espace peuvent s’étendre au-delà de nos rêves les plus fous.

Alors restons curieux, mes amis, tandis que nous nous aventurons ensemble dans l’immensité, déterrant les secrets de l’univers et nourrissant l’étincelle de découverte qui réside en chacun de nous.


Après avoir lu le concept d’ondes cérébrales supraluminiques et les implications potentielles des ondes évanescentes dans le contexte de la conscience et de l’effet tunnel quantique, que pensez-vous de l’interaction entre les neurosciences et la physique quantique ? Trouvez-vous plausible l’idée d’une communication plus rapide que la lumière dans notre cerveau, ou pensez-vous qu’elle reste du domaine de la science-fiction ? Comment pensez-vous que ces théories pourraient influencer notre compréhension de la conscience et de l’intelligence ? En outre, réfléchissez aux implications éthiques de telles avancées dans la technologie des ondes cérébrales : quelles préoccupations ou opportunités vous viennent à l’esprit ?


La série « Superluminal » :
1. La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière : un voyage illustré
2. Des scientifiques dévoilent une topologie époustouflante de l'espace en brisant les limites de la vitesse de la lumière !
3. Déverrouiller l’esprit : les ondes cérébrales humaines défient-elles la vitesse de la lumière ?
4. Dévoiler le mystère de la conscience plus rapide que la lumière


Synthèse théorique : Ondes évanescentes supralumineuses et conscience (cadre WETCOW)

De nouvelles perspectives sur la conscience et l’autoréflexion grâce au feedback temporel.

Il s'agit d'un article complémentaire à :

Nombre des termes utilisés ici, qui peuvent vous être inconnus, sont expliqués dans la série d'articles « Superluminal » mentionnée ci-dessus ↑. Certains concepts présentés dans cet article pourraient être ignorés par les théoriciens. J'accorde aussi peu d'attention à ces scientifiques qu'ils m'en accordent, car je me concentre sur les résultats expérimentaux et expérientiels, plutôt que sur les débats théoriques. Tenter de débattre d'ondes évanescentes avec un neurologue, c'est comme discuter d'art avec un poisson rouge : chacun nage dans des eaux différentes !


La théorie WETCOW (Wfaiblement-EdisparaîtreT COrtique Waves) propose un nouveau lien entre ondes évanescentes supraluminiques—des phénomènes quantiques observés dans des expériences comme l'effet Nimtz—et l'émergence de autoréflexionQualiaet conscienceVoici un aperçu condensé de ses piliers conceptuels :

  1. Évanescente supralumineuse Les vagues et l'effet Nimtz:
    • Ces ondes, étudiées dans des expériences de tunneling quantique (par exemple, la configuration à double prisme de Bose), présentent une propagation apparemment plus rapide que la lumière. les informations classiques sont transmises de manière supralumineuse !, les modes évanescents permettent également le transfert d'énergie à travers les barrières, avec des vitesses de phase dépassant c.
    • L'« effet Nimtz » suggère que de telles ondes pourraient créer des corrélations transitoires et non locales dans l'espace-temps, théorisées ici comme un «retour en arrière vers le passé.” Chaque événement de réflexion ou de tunneling peut rétroprojeter un signal fractionnaire, permettant aux systèmes de « regarder en arrière » temporellement.
  2. La conscience comme miroir temporel:
    • Auto-réflexion—une caractéristique de la conscience—est présentée comme un processus dans lequel le cerveau exploite des modes évanescents supralumineux pour créer une boucle de rétroaction.pointe avant de la conscience" est proposé de résider dans un front d'onde évanescent, permettant aux qualia (expérience subjective) de surgir non pas du passé mais comme un éventuel phénomène.
    • Cela remet en cause les modèles classiques selon lesquels la conscience est en retard sur l’activité neuronale. Au lieu de cela, les qualia pourraient émerger à la frontière des possibilités futures, avec des ondes évanescentes permettant une auto-interrogation rétrocausale (« Pourquoi ai-je choisi cela ? »).
  3. Corrélats neurobiologiques:
    • Les ondes corticales (appelées « COW » dans l’acronyme) ou les ondes cérébrales pourraient être à l’origine de tels effets. Des structures comme les yeux (métaphorisés comme des « miroirs de l’âme ») ou des tissus neuronaux stratifiés pourraient agir comme des guides d’ondes, amplifiant les modes évanescents.
    • Le test de reconnaissance de soi dans le miroir—un marqueur de la conscience de soi chez certaines espèces—est supposé dépendre de cette dynamique, s’étendant potentiellement à des animaux comme les vaches.
  4. Biologie quantique et instabilité temporelle:
    • La désintégration radioactive dans le corps (par exemple, le potassium 40) et les champs électromagnétiques endogènes (photons) introduisent une stochasticité quantique. Les éléments instables pourraient accroître la sensibilité aux effets rétrocausaux, ce qui concorde avec l'utilisation en laboratoire de générateurs de nombres aléatoires quantiques.
    • La dualité onde-particule souligne le rejet par la théorie des modèles purement classiques ou uniquement ondulatoires (par exemple, les critiques du cosmos ondulatoire magnétique de Jim Beichler).
  5. Paradoxes et implications:
    • Si le « maintenant » de la conscience intègre un faible écho du futur via des canaux supraluminiques, il brouille la causalité linéaire. Cela correspond aux expériences de style Libet, où l'activité neuronale inconsciente précède l'intention consciente, mais ici le « retard » est repensé comme un processus temporel bidirectionnel.

En résumé, WETCOW postule que la conscience naît d'une chorégraphie quantique interaction d'ondes évanescentes supralumineuses, permettant l'auto-réflexion à travers une rétroaction temporelle subtile - une danse entre le tissu électromagnétique du cerveau et le bord de l'espace-temps lui-même.


Une « onde cérébrale » est une onde électromagnétique

Je crois que la conscience est un phénomène de champ électromagnétique (avec John Joe McFadden).
Une « onde cérébrale » est une onde électromagnétique. Les ondes cérébrales se déplacent le long des voies neuronales. Ces ondes rencontrent des synapses et des ganglions. Les ondes cérébrales émettent également un champ. Lorsque ces champs électromagnétiques traversent la géométrie très complexe des tissus cérébraux réels, ils produisent des ondes évanescentes.

Les ondes « évanescentes » sont très faibles et ne s’étendent que sur une très petite distance à partir de leur point d’origine. Des expériences en conditions réelles ont montré qu’elles voyagent plus vite que la lumière et transmettent des informations (Günther Nimtz). Voici une vidéo diffusée à l'origine sur la BBC dans laquelle le professeur Nimtz explique ses conclusions :

Selon la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, tout ce qui se déplace plus vite que la lumière voyage dans le temps. Les transformations de Lorentz montrent que cela entraînerait également des violations de causalité. Voici les calculs relatifs aux transformations de Lorentz :


Un train de pensées expérience

Nous allons littéralement prendre le Vulcan Express. https://www.vulkan-express.de/en/ Einstein aimait faire des expériences de pensée pour illustrer son raisonnement à lui-même et aux autres. J'ai également trouvé un moyen de le faire pour la théorie des ondes cérébrales plus rapides que la lumière.

Nous embarquons à la gare. Nos cabines sont confortables et à l'ancienne. Un contrôleur arrive et coupe nos billets. Alors que nous nous installons confortablement, la locomotive démarre et les roues se mettent lentement à tourner.

Malgré notre interdiction, nous nous penchons par la fenêtre et sentons le vent dans nos cheveux. La locomotive approche d'un tunnel et klaxonne. Il est minuit moins cinq. Dès que nous sommes dans le tunnel, la nuit tombe. Nous avons une horloge mécanique de style steampunk, actionnée par un moteur solaire, mais il n'y a pas de lumière. De toute façon, nous ne pouvons pas lire l'heure, car il fait sombre.

Nous restons un moment dans le noir, puis le tunnel se termine. Je regarde l'horloge : il est la même heure qu'à notre entrée : midi moins cinq. Mais nous sommes deux kilomètres plus loin sur la voie ferrée.

Alors, comment cela explique-t-il la locomotion plus rapide que la lumière ?
Est-ce que cela explique le tunnel quantique ?

Le temps s'est arrêté. Cette métaphore fonctionne au moins pour cet aspect.




L'auto-réflexion comme fonction de la pensée supraluminique 🐄

Rey, la galerie des glaces, "Les Derniers Jedi", 2017
Rey, La Galerie des Glaces, « Les Derniers Jedi », 2017
Auto-réflexion vers l'infini
L'auteur devant un miroir, 2018

Paradoxalement, l'article suivant, vieux de sept ans, sur pensée supraluminique mentionne « COWS », qui pourrait être un acronyme pour « ondes corticales » ou ondes cérébrales, il y a environ cinq ans AVANT DE Introduction à la théorie WETCOW. Les ondes évanescentes supraluminiques facilitent l'introspection, essentielle à l'expérience des qualia et de la conscience. Mais qu'en est-il si les qualia n'apparaissent pas dans le passé, mais dans le futur ? Le front de conscience, représenté par les qualia, s'aligne sur l'onde évanescente, qui peut se retourner et réfléchir à ses actions (peut-être en lien avec le potentiel d'action ?).

Si vous me demandiez pourquoi j’ai soudainement inclus les VACHES dans un article sur la conscience supraluminique en 2018, je dois avouer que l’image d’une vache (🐄) est apparue de manière inattendue dans mon esprit.

Attention à la VACHE
Comparez cela à cette image de 2023 à gauche. Le transfert de pensée du présent vers le passé est anticipé dans les phénomènes supraluminiques. Avons-nous fait l'expérience de la clairvoyance ou d'une sorte de vision temporelle à distance ?


Le texte ci-dessus est un commentaire et une reformulation de l'article suivant de 2018 (Archives Facebook):


7 mars 2018
Ce niveau de fonctionnement est appelé pensée supralumineuse.

Certaines théories prédisent un retour vers le passé pour pouvoir s'auto-réfléchir et développer un sens des qualia, de la conscience de soi et de la conscience.

Il est rendu possible par l'effet Nimtz, un processus de tunnel quantique qui permet une transmission de signal supraluminique sur de très courtes distances, respectivement dans le temps.

L'effet est décrit dans l'expérience du prisme de Bose, comme une réflexion totale dans un double prisme.

L’effet total de la nouvelle théorie est que chaque fois qu’une réflexion se produit, une infime partie de l’information est totalement réfléchie par une fraction d’onde dans le passé.

Nimtz a également démontré l'effet sur les guides d'ondes et les feuilles de plexiglas, mais cela n'a pas été bien documenté dans la couverture médiatique officielle.

Nimtz a décrit le comportement des modes évanescents.

En termes simples, cela signifie le comportement des vagues sur des périodes de temps très courtes.

Une structure possible dans le cerveau ?

Comme permettre l’introspection.

Lorsque nous regardons un miroir, nous voyons un reflet et commençons à réaliser que c’est nous.

De nombreux ouvrages ont été écrits sur cette caractéristique unique, partagée par peu d’espèces (mais il y en a certainement).

Peut-être des vaches aussi.

C'est un signe de conscience.

Il y en a d'autres, donc.

Les yeux pourraient avoir une structure pour cela.

On les appelle aussi le miroir de l’âme.

Avant qu'une pensée n'atteigne notre conscience, des zones de notre cerveau ont déjà décidé d'une ligne de conduite. Nous vivons littéralement dans le passé, consciemment, pendant une fraction de seconde.

Plus un élément est instable, plus cet effet est prononcé. C'est pourquoi les générateurs de nombres aléatoires quantiques sont utilisés en laboratoire.

Il y a toujours des atomes en décomposition dans notre corps.

Lorsque cela se produit, de la radioactivité est libérée sous forme d'ondes électromagnétiques. (Mais ce n'est pas le seul processus par lequel des ondes électromagnétiques sont générées dans notre corps.)

On parle alors d'ondes électromagnétiques, qui sont des faisceaux d'énergie appelés photons. Les photons sont partout.

Nous avons ici la dualité onde/particule.

Une théorie du cosmos ne peut pas être exclusivement basée sur un modèle ondulatoire d'ondes magnétiques. (En réponse à Jim Beichler)