PULSAR SHOCKER – LE PLUS GRAND ANGLE MORT DE LA SCIENCE !

Pourquoi Six-Sigma ne s’applique-t-il pas aux théories des pulsars ?

Les pulsars intriguent les scientifiques depuis plus de 50 ans, et de nombreux mystères subsistent. Certains se demandent si ces signaux cosmiques pourraient être des balises extraterrestres plutôt que des objets naturels.

Vous avez entendu parler des étoiles à neutrons et de leurs éclairs d'ondes radio d'une précision inquiétante. Mais saviez-vous que les plus grands experts mondiaux admettent ouvertement ne toujours pas comprendre comment, ni même pourquoi, les pulsars émettent des impulsions ? Malgré plus de cinq décennies de recherche approfondie depuis leur découverte, les aspects fondamentaux des mécanismes qui régissent les pulsars restent incomplètement compris.

CE QU'ILS NE VOUS DIRONT PAS

• 50 ans de « science mystérieuse »
- Les pulsars ont été découverts en 1967 par Jocelyn Bell Burnell.
– Les premiers pulsars furent nommés « LGM » pour « Little Green Men »,
parce qu'ils ressemblaient à des signaux intelligents délibérés provenant d'extraterrestres.
- La découverte a été gardée secrète pendant deux ans, jusqu’à ce qu’une explication « naturelle » puisse être trouvée.
– Pourtant, les meilleures critiques concèdent : « Il n’y a pas de consensus sur la façon dont les pulsars produisent des faisceaux radio cohérents. »
– Même leurs modèles de magnétosphère les plus lourds ne sont que de « pures spéculations », affirment les universitaires.

Jocelyn Bell Burnell a découvert les pulsars en 1967
Jocelyn Bell Burnell a découvert les pulsars en 1967

• L'énigme de la « conversion » énergétique
– Comment une étoile à neutrons en rotation transforme-t-elle son spin en lumière et en rayons X ?
– Les experts haussent les épaules : « Nous ne savons pas où les particules sont accélérées… ni comment. »

• Les secrets intérieurs bien gardés
– L'équation d'état des étoiles à neutrons ? Un « secret bien gardé », même sur Wikipédia.
– Nous ne pouvons pas recréer ces conditions ultra-denses sur Terre – nous volons donc à l’aveugle.

LA GRANDE QUESTION QUE SETI NE POSERA PAS

Si nous sommes si perplexes face aux objets « naturels », pourrions-nous quelques les pulsars sont en fait des balises artificielles – conçues par un Kardashev ultra-avancé Civilisation de type IIIImaginez exploiter l'énergie d'une étoile pour construire des phares parfaits et longue portée ! N'est-ce pas un concept proposé par l'échelle de Kardashev ?

Pourtant, les protocoles SETI rejettent catégoriquement cette idée :
• Ils se concentrent sur des signaux radio faibles et discrets – jamais sur des mégastructures rayonnant à travers la Voie lactée.
• Ils n’ont jamais sérieusement testé si le « bruit » du pulsar pouvait être un code Morse cosmique.

ET SI CERTAINS PULSARS ÉTAIT DES PHARES ETI ?

– Un timing parfait, une puissance colossale, des faisceaux précis… cela ressemble à une technologie d’ingénierie !
– Une société K-III pourrait « pinger » des planètes pendant des millénaires, et nous avons supposé que c'était juste la physique qui nous jouait des tours.

APPEL À TOUS LES CHASSEURS D'ÉTOILES

Il est temps de briser les dogmes. Nous devons :
1. Réexaminer les données des pulsars pour détecter des modèles cachés ou une modulation intentionnelle.
2. Élargir la recherche du SETI pour inclure les signaux pulsés de haute puissance.
3. Admettre notre ignorance et adopter des idées folles pour résoudre ces énigmes cosmiques.

Tant que nous n'oserons pas nous demander si les pulsars sont la carte de visite des extraterrestres, nous resterons bloqués dans l'ignorance, attendant qu'ET nous fasse sonner une cloche que nous avons refusé de vérifier. N'est-il pas temps de dénoncer la plus grande erreur de l'astrophysique ?


Les scientifiques sur les limites de la connaissance des pulsars

Au-delà des problèmes spécifiques non résolus dans les sous-domaines de la recherche sur les pulsars, il existe de nombreux cas où les scientifiques font des déclarations générales reconnaissant explicitement l'état incomplet des connaissances actuelles concernant ces objets énigmatiques.

Plusieurs publications et ressources clés indiquent directement les limites de notre compréhension des pulsars :

Beskin, Chernov, Gwinn et Tchekhovskoy (2015) :

Dans leur revue « Radio Pulsars », ces auteurs affirment clairement : « Près de 50 ans après la découverte des pulsars radio en 1967, notre compréhension de ces objets reste incomplète. » Il s’agit d’un aveu clair et de haut niveau des lacunes persistantes dans les connaissances des experts qui résument le domaine.

Hankins, Rankin et Eilek (2009) :

Le livre blanc « Quelle est la physique de l'émission radio des pulsars ? » s'ouvre sur une constatation sans détour : « Malgré de nombreux efforts théoriques et observationnels minutieux, les détails du rayonnement de ces étoiles à neutrons en rotation rapide demeurent un mystère. » Bien que centrée sur le rayonnement, cette affirmation implique des difficultés plus vastes dans la compréhension des processus fondamentaux.

Contopoulos, Kalapotharakos et Kazanas (2014) :

Dans « Une nouvelle magnétosphère standard pour les pulsars », les auteurs remarquent : « Bien que les pulsars aient été découverts il y a près de cinquante ans, ils restent encore de mystérieux objets stellaires. » Cette affirmation générale résume la nature énigmatique persistante des pulsars.

La NASA sur PSR B0943+10 :

Lors d'une discussion sur le « pulsar mystérieux » PSR B0943+10, une source de la NASA note que « les astronomes… ne savent pas exactement comment les particules sont arrachées à la surface de l'étoile et accélérées à des énergies élevées ». L'observation de ses impulsions radio/rayons X inverses a « relancé le débat », indiquant que tout consensus antérieur sur ce comportement d'émission était soit absent, soit fragile, et que les modèles existants étaient insuffisants.

« Électrodynamique des pulsars : un problème non résolu » :

Le titre même d'un domaine de recherche ou d'un article spécifique peut être révélateur. Bien qu'un article existe sur ce sujet, la qualification plus générale de « l'électrodynamique des pulsars » comme « un problème non résolu » est un aveu direct de défis persistants. La source elle-même aborde des questions non résolues comme la « privation de charge » et la « privation de courant » dans les modèles électrodynamiques, ce qui implique que ces domaines ne sont pas encore totalement résolus.

L'équation d'état inconnue (EoS) :

Un « secret bien gardé »
Une inconnue cruciale est l'équation d'état (EoS) de la matière à ces densités supranucléaires. L'EoS décrit la relation entre pression, densité et température, et détermine les propriétés macroscopiques de l'étoile à neutrons, telles que son rayon pour une masse donnée et sa masse maximale possible.

Équation d'état des étoiles à neutrons, https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1387647310000564
Équation d'état des étoiles à neutrons, https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1387647310000564

De multiples sources soulignent sans équivoque le manque actuel de connaissances. L'article de Wikipédia sur les étoiles à neutrons, reflétant souvent le consensus des experts, affirme : « L'équation d'état des étoiles à neutrons est actuellement inconnue. » L'article précise que cette incertitude provient de l'impossibilité de reproduire les densités extrêmes en laboratoire terrestre, et que la modélisation théorique doit intégrer la relativité générale ainsi que des aspects complexes de la chromodynamique quantique (QCD), de la supraconductivité potentielle et de la superfluidité de la matière nucléaire. La compréhension de l'ÉoS est décrite comme un « problème majeur non résolu de la physique fondamentale ».

Ce sentiment est fortement partagé par la littérature scientifique. Une revue de 2017 de Chamel et al., « The physics of the neutron star crust », souligne que si la physique de la croûte externe est relativement mieux comprise, « la structure de la matière au cœur des étoiles à neutrons, et en particulier son équation d'état, demeure le secret bien gardé des étoiles à neutrons ». L'impossibilité de déterminer avec certitude l'EoS signifie que des paramètres fondamentaux, tels que la limite supérieure précise de masse des étoiles à neutrons avant leur effondrement en trous noirs (la limite de Tolman-Oppenheimer-Volkoff), demeurent incertains, les estimations théoriques variant.

SIX SIGMA :

Théories scientifiques : Lorsqu'une théorie rencontre des preuves contradictoires ou ne parvient pas à expliquer une nouvelle observation, il ne s'agit pas d'un « défaut » du processus scientifique. Cela indique plutôt que la théorie est peut-être incomplète, incorrecte dans certaines conditions, ou nécessite d'être affinée. De telles divergences sont essentielles au progrès scientifique, conduisant souvent à de nouvelles hypothèses, voire à des changements de paradigme. Cet état d'esprit pourrait bien être la solution idéale pour faire progresser notre compréhension des pulsars.

Une approche visuelle du Pulsar SETI : recherche de données significatives dans des signaux précédemment ignorés

Les pulsars ont été trop rapidement écartés du SETI. Pourquoi ? Parce qu'ils sont trop nombreux. Voici une représentation visuelle d'une méthode permettant de rechercher des données significatives encodées dans leurs signaux :

Références:

Les pulsars radio sont-ils des balises de communication extraterrestres ?
https://www.researchgate.net/publication/264785777_Are_Radio_Pulsars_Extraterrestrial_Communication_Beacons

Système de positionnement Pulsar : à la recherche de preuves d'ingénierie extraterrestre
https://arxiv.org/abs/1704.03316

Recherche de technosignatures périodiques dans un centre galactique de 4 à 8 GHz
https://iopscience.iop.org/article/10.3847/1538-3881/acccf0

« Contrairement à tout ce que nous avons vu auparavant » : des astronomes découvrent un objet mystérieux qui envoie d'étranges signaux vers la Terre toutes les 44 minutes, le 28 mai 2025
https://www.livescience.com/space/unlike-anything-we-have-seen-before-astronomers-discover-mysterious-object-firing-strange-signals-at-earth-every-44-minutes

Le pulsar caméléon surprend les astronomes, le 19 février 2013
https://observatoiredeparis.psl.eu/chameleon-pulsar-takes-astronomers-by-surprise.html

Le blazar du trou noir change de direction et pointe désormais son jet vers la Terre
Un changement de cap inexplicable
https://ras.ac.uk/news-and-press/research-highlights/galaxy-changes-classification-jet-changes-direction

(FRINGE) Décoder le message des pulsars : communication intelligente depuis la galaxie
https://www.amazon.com/Decoding-Message-Pulsars-Intelligent-Communication/dp/1591430623

Beskin, VS (2018). Pulsars radio. Physique-Uspekhi, 61(7), 655-686.

Hankins, TH, Rankin, JM et Eilek, JA (2009). Quelle est la physique de l’émission radio des pulsars ? Astro2010 : Le Astronomie et astrophysique Enquête décennale, Livres blancs scientifiques, n° 120.

Contopoulos, I., Kalapotharakos, C. et Kazanas, D. (2014). Une nouvelle magnétosphère standard pour les pulsars. Avis mensuels de la Royal Astronomical Society, 443(1), L45–L49.

NASA. (2013, 23 octobre). Chandra et XMM-Newton de la NASA découvrent un pulsar déroutant. Missions de la NASA.

Petri, J. (2019). Électrodynamique des pulsars : un problème non résolu. Journal de physique des plasmas, 85(5), 15850501.

Chamel, N., Fantina, AF, et Zdunik, JL (2017). La physique de la croûte des étoiles à neutrons. Dans La physique et l'astrophysique des étoiles à neutrons (pp. 57-95). Springer, Cham.

L'appel d'un habitant de Galway au lauréat du prix Nobel suscite une réflexion sur les pulsars et la recherche d'une intelligence extraterrestre

En 1985, je vivais à Galway, sur la côte ouest de l'Irlande. Je fréquentais régulièrement la bibliothèque locale d'Augustine Street pour y trouver des livres. Elle ne ressemble plus à ça aujourd'hui, mais je me souviens avoir monté l'escalier à gauche :

Ancienne bibliothèque centrale de Galway, rue Augustine, de mémoire

Les mystères des pulsars capturent mon imagination

Là, j'ai découvert un livre sur les pulsars. En le lisant, j'ai été frappé par les caractéristiques remarquables de ces phénomènes cosmiques : ils émettaient des impulsions radio incroyablement régulières, semblant fonctionner comme des horloges célestes. Leur périodicité précise a éveillé en moi un soupçon : ces signaux pouvaient-ils être d'origine artificielle ? L'idée me rongeait. Cela me semblait presque trop parfait, trop synchronisé, pour être purement naturel.

Antony Hewish devant un ensemble de 4.5 acres, image du laboratoire Cavendish, Université de Cambridge.

Retards et doutes : la prudence de la communauté scientifique

Ce qui m'a encore plus intrigué, c'est que les chercheurs qui ont détecté les premiers pulsars ont attendu près de deux ans avant de publier leurs résultats. Lorsqu'ils l'ont finalement fait, ils ont expliqué les transmissions radio régulières par un processus astrophysique naturel – peut-être des étoiles à neutrons en rotation rapide ou un autre objet exotique. Mais je ne pouvais m'empêcher de penser que quelque chose était caché, ou du moins pas pleinement exploré. Pourquoi retarder la publication ? Pourquoi s'empresser d'expliquer ces étranges signaux par une cause naturelle, alors qu'ils pourraient tout aussi bien être le message – ou la preuve – d'une vie intelligente ?

Première observation d'un pulsar, image du laboratoire Cavendish, Université de Cambridge.

Une mission personnelle : tendre la main à un lauréat du prix Nobel

Je me suis retrouvé incapable de me défaire de cette pensée. J'ai décidé d'essayer d'obtenir des réponses directement auprès de quelqu'un qui connaissait la science de première main : le professeur Antony Hewish lui-même, lauréat du prix Nobel qui a joué un rôle clé dans la découverte des pulsars.

Le trajet jusqu'à la cabine téléphonique d'Eyre Square ne fut pas long – quelques minutes seulement – ​​mais j'eus l'impression d'un voyage vers l'inconnu. Je passai devant des lieux familiers : les rues pavées, les cafés animés et le tintement lointain de la tour de l'horloge. La place grouillait de monde, leurs conversations et leurs pas créant un bourdonnement constant. Je sentais la brise fraîche sur mon visage, chargée de la légère odeur du café des cafés voisins, se mêlant à l'air vif d'une journée irlandaise typique.

Statue de Pádraic Ó' Conaire sur Eyre Square, Galway

Prendre la décision : demander à l'expert des informations sur les origines artificielles

En approchant de la place, je m'arrêtai brièvement pour reprendre mon souffle. Je fouillai dans ma poche et pris la poignée de livres irlandaises que j'avais soigneusement rassemblées à cet effet. Je contemplai la cabine téléphonique, une petite boîte vitrée dressée au coin de la place, légèrement usée mais fonctionnelle. Sa peinture défraîchie et la faible odeur de vieux métal me rappelèrent d'innombrables moments d'attente et d'espoir.

Je suis entré, sentant le métal froid de la poignée de porte contre ma main. L'intérieur était faiblement éclairé, avec la faible lueur de la fente à pièces et du clavier. J'ai pris un moment pour me ressaisir. Le bourdonnement de la ville s'estompa tandis que je décrochais le combiné et insérais les pièces une à une dans la fente, entendant le tintement satisfaisant lorsqu'elles tombaient en place.

Le téléphone était à cadran, mais il fonctionnait, fiable et simple d'utilisation. Je fixai le clavier, les doigts légèrement tremblants, tandis que je composais le numéro du Laboratoire Cavendish de Cambridge. La ligne était longue distance et je n'avais que peu de monnaie. Je murmurai une prière pour que l'appel aboutisse.

L'interview

Finalement, j'ai entendu le clic de connexion. Une voix calme et posée a répondu.

Antony Hewish au téléphone (généré par l'IA)

"Bonjour?"

« Professeur Hewish ? » demandai-je en essayant de garder une voix ferme.

« Oui, je parle », répondit-il.

J'ai hésité un instant, l'esprit submergé de questions. Puis j'ai lâché : « Je vous appelle pour vous féliciter pour la découverte des pulsars. »

Il y eut une brève pause, et je pouvais presque l’entendre sourire à l’autre bout du fil.

Il m'a remercié poliment, puis j'ai pris une grande inspiration et lui ai demandé : « Je trouve le sujet absolument fascinant, et je me demandais… êtes-vous absolument certain que les pulsars ne sont pas d'origine artificielle ? »

Il a répondu avec une confiance tranquille : « Oui, j’en suis certain. »

Et puis il a commencé à expliquer, d'une voix ferme et rassurante :

Les pulsars sont des objets fascinants. Ce sont des étoiles à neutrons fortement magnétisées et en rotation rapide, vestiges d'étoiles massives devenues supernovae. Lors de leur rotation, leurs champs magnétiques intenses canalisent les particules vers leurs pôles magnétiques, qui agissent comme des phares cosmiques. Lorsque ces faisceaux passent près de la Terre, nous les détectons comme des impulsions radio très régulières.

Réflexions sous le ciel de Galway

J'écoutais attentivement, l'esprit bourdonnant de ses explications, des explications que j'avais déjà entendues, mais qui ne faisaient qu'accroître ma curiosité. J'ai demandé à nouveau, peut-être avec plus d'insistance :

« Et vous êtes sûr à 100 % que les pulsars ne sont pas d’origine artificielle ? »

Hewish rigola doucement au téléphone : « Oui, absolument certain. »

Je l'ai remercié pour son temps et, avant d'avoir dépensé toutes mes pièces, j'ai raccroché. De retour dans la rue, j'ai levé les yeux vers le ciel gris et nuageux, songeant à l'immensité de l'espace et aux mystères qu'il recelait encore. Cette conversation m'a laissé avec une question persistante : pourrions-nous un jour trouver des signes de vie intelligente là-bas ?

Une seconde d'erreur en 30 millions d'années

Le l'univers Les pulsars les plus stables, les garde-temps les plus précis, sont d'une précision si remarquable qu'ils ne dériveraient que d'une seconde sur des dizaines de millions d'années. Leur stabilité rivalise – et surpasse même, à certains égards, – celle de nos horloges atomiques les plus avancées.

Le pulsar milliseconde le plus stable connu, désigné PSR J1713+0747, illustre cette extraordinaire précision. Sa période de rotation est si constante qu'elle accumulerait une erreur d'une seconde seulement après environ 30 millions d'années.

Lorsque nous parlons de la supériorité des pulsars comme horloges cosmiques, nous faisons référence à leur capacité à maintenir une heure précise pendant des millénaires, bien au-delà de toute horloge fabriquée par l'homme. Les ingénieurs peuvent construire des horloges qui ne perdent qu'une seconde en 300 milliards d'années, mais ces dispositifs sont fragiles et tombent souvent en panne en quelques décennies. Les pulsars, en revanche, peuvent maintenir leur tic-tac régulier pendant des milliards d'années, offrant ainsi une norme cosmique du temps inégalée.

Vous êtes déformé dans le monde natal d'extraterrestres amicaux dans une partie inconnue de la Galaxie. Comment décririez-vous la position de la Terre dans l'univers ?

Tatouage Carte Pulsaire

Je leur montrerais ma carte du pulsar. Astronome et astrophysicien Franck Drake conçu la carte, en collaboration avec un collègue astronome Carl Sagan et artiste et écrivain Linda Salzman-Sagan. La carte des pulsars montre l'emplacement de notre soleil par rapport aux pulsars connus. Cette carte a été placée sur les sondes spatiales interstellaires Voyager 1 & 2 en 1977

La carte est légèrement imprécis à cause d'une erreur d'arrondi sur un pulsar, mais c'est mieux que rien.

Le fait de se faire tatouer ou non est discutable. Une plaque d'identité peut être plus facile à transporter.


La magie des pulsars
Découvert en 1967 par un astrophysicien nord-irlandais Jocelyne Bell Burnell, les pulsars ont été décrits par Antony Hewish être les restes de soleils effondrés.

Pour des raisons pas entièrement comprises ils émettent des impulsions d'ondes radio (et comme des phares parfois de la lumière visible) avec la précision des horloges atomiques, restant actifs pendant des milliards d'années. Cela a quelque chose à voir avec les champs magnétiques.


Frank Drake a dessiné le carte des pulsars utilisant 14 pulsars connus au début des années 1970. Aujourd'hui, nous en connaissons beaucoup plus. pulsars mais ils ne sont pas aussi puissants et brillants. celui de Frank Drake carte de pulsar originale dessinée au crayon vit aujourd'hui dans une vieille boîte de tomates à la maison.

Carte de pulsar originale dessinée à la main par Frank Drake qui est allée dans l'espace extra-atmosphérique.

Chaque pulsar est relié au soleil par une ligne continue. La longueur de la ligne représente la distance relative approximative du pulsar au soleil.
Des tirets verticaux et horizontaux sont gravés le long de chacune des lignes de pulsar qui représentent un nombre binaire pouvant être converti en un nombre décimal.
Lorsqu'il est multiplié par une mesure de temps connue, ce nombre révèle la fréquence du pulsar - à quelle vitesse il tourne et clignote.

Décoder avec succès la carte permettrait de localiser sans ambiguïté la position du soleil et la période de lancement du vaisseau spatial.

Il s'agit d'un article du « Projet Contact ».

Nous pouvons être trouvés sur https://contactproject.org.

Le Projet Contact est également sur reddit : https://reddit.com/r/contactproject


Référence:
Comment lire une carte Pulsar
https://www.pbs.org/the-farthest/science/pulsar-map/

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